Épaviste Gratuit : Comment Vendre Sa Auto à La Casse ?

[Jiles Disher]

Sur les espaces privés et publics, les épaves ne cessent de polluer le paysage de la ville. Fréquemment plus présents dans les centres de parking non payant, les automobiles abandonnés constituent un authentique casse-tête que fourrière et polices, municipale et nationale, peinent à régler. Dans le meilleur des cas, la végétation cache le bas de caisse et des toiles apparraissent sur les rétros. Au pire, les pare-chocs pendouillent, la rouille prolifère sur la carosserie et les vitres sont cassées. Dans certains zones, les habitants sont devenus expertsafin de signaler les épaves, à tel point que ces lignes disgracieuses font partie intégral de notre quotidien. L'exemple du Boulevard de Nice est révélateur. Au commencement de l'artère, sur une parcelle étant la propriété de la copropriétés aux environs et faisant office de parc de stationnement, on ne dénomber pas moins de 5 voitures dans situation d'abandon incontestable. Certains sont là depuis plus d'un an. Dans la Place de la Mairie, qui raliie le Boulevard Lannes, un auto presente en outre https://www.lesepavistes.fr/seine-saint-denis/ l'ensemble des témoignages d'une auto ventouse. Idem à deux pas du cours Général weygand , où une voiture accidentée figure au même endroit depuis des mois.

À la mairie, personne n'ignore ce « véritable problème ». Outre de détenir un espace de parking de manière injustifiée, ces voitures sont souvent susceptible de présenter un risque sur la voie publique. Leurs propriétaire s'en délivre en ne dilapidant rien.

« Ces zones tendant à se réduire, on retrouve les épaves généralement rassemblées dans les mêmes lieux », à en croire la municipalité. Afin de les extraire, il s'agit d'abord de se départir d'une « complexité bureaucratique ». Le véhicule devra avant tout être classifié en tant que ventouse ou épave. La police nationale procéde à des interventions, comme lorsqu'elle a dénoncé plus de 50 véhicules quelques semaines plus tôt. On souligne sur le sol et sur les pneus les signes qui permet d'établir si néanmoins l'auto se maintient sur place ou roule.

7 jours passées, la voiture prend le rôle de ventouse. Il faudra, au total, un mois de démarches de manière à identifier le titulaire. Reste à identifier qui de la police nationale ou municipale doit entrer en scène.. La police national n'a pas de fourrière. « C'est pourquoi nous avons envie de ratifier un accord avec la sécurité publique dans le but d'être plus efficients», déclare un élu. Un accord ne sera pas le dénouement à tout. Si nous disponsons évidemment d'une fourrière, cette dernière reste malheureusement pas à la hauteur rétorque un conseillé minicipale. L'espace dont elle dispose est horriblement limité et elle ne répond aux attentes aujourd'hui.

À l'occasion d'une politique environnemental et de sécurité, cette démarche a été conduite sur une plusieurs dizaines de voitures ont été flagé, pourtant beaucoup n'ont pas encore été confisqués », argumente la représentante. Bien que la police nationale assure le lien sur place, la policice municipale impérativement doit faire accomplir l'enlèvement, grâce à un épaviste.

Des responsabilités considérables, des crédits qui absent. Mais c'est une démarche qui pèse lourd selon qu'il s'agit d'un emplacement public ou privé sur lequel se situe le véhicule à retirer. « Au cas où le véhicule est positionné sur un stationnement ou sur la voie publique, la procédure de trente jours avant retrait doit impérativement être observée, à l'exception d'une menace ou alors la circonstance demande qu'il soit enlevé en urgence. »